les « ci-gît »
par Anne Portugal
murs m’entourant de voisinsdestin moyen me tirant en arrièreet réussirm’eût aveuglément couronné
y mettrais-tu pollux ce boulisteet l’amitié plus arrondiepour regagner la coupe
de nos cœurs il étaità tout jamais moderne économiquepliable à toutes les jointures
si lent le paysage n’est pas si mal et me convientrien de pesant que l’airde tous les jours et le goût du conservateur
vertes ici les pelouses que l’hiver il oublieet cueille et demain avec son pèreil dort et qu’il couvre d’un drap
tu souris renseignépar tes parents remisés en lieu sûrtu parles une foisde l’élucidation de leurs sourceset presque de douceur
je vous dis les habitants du départementde mon cœur les secoussesles états la région n’ont pas créé les secours
jouis du repos il le faut dans cinq heuresde là-bas ils viendront les vivantsfont partie dans notre arrrangementd’un système mis au point par notre imagination
tant de choses obligeantes avenue des pyramidauxdes prixpour cette chaise-longue offerte avec son box
nous dormons domestiques dans une petite maison posée d’avanceet tous les animaux et leurs droits à la viela qualité pour tous et les fourmis
herbes sauvages les retours des saisonsje suis d’autant plus heureux je les ail’autoroute traverse ici
oiseau tu voles mais d’une allure terribleet portes un acte d’opéraau développement industriel
humains vieux fatigués d’une soirée avec des invités tu esma petite louloute chérietoutes tes dents nuit et jour de vieil orvoyageant avec toi le meilleurà portée de laurier
arbres d’alignement sa perception du mois du sportlui révèle ce qu’il estet ne voudrait pas être