Migrations
Le regard aigu d’Emmanuelle Gallienne
Provoquer la rencontre entre nos rêves de migrants et le réel, se tenir là où le regard s’aiguise. Voir un matin de l’intérieur l’autre entre la langue et l’objet : si l’éveil est la rencontre du rêve et du réel, peut-on écrire ou lire au moment où nos yeux s’ouvrent ? Les textes de Emmanuelle Gallienne publiés dans Vacarme depuis plusieurs années ressemblent à des déambulations funambules à l’instant de l’éveil où nous saisissons un autre par delà les figures fantomatiques.
- Pays d’été (Vacarme 64, été 2013)
- Je n’arriverai jamais à décrire ces serpents ! (Vacarme 62, hiver 2013)
- À nous donc de risquer (Vacarme 61, automne 2012) [*]
- Mais ce n’était pas encore l’Amérique (Vacarme 60, été 2012) [*]
- Jaurès - mésami (Vacarme 57, été 2011) [*]
- Au flan du païche (Vacarme 52, été 2010) [*]
- Fuite sur le fleuve (Vacarme 47, printemps 2009) [*]
[*] Texte intégral disponible en ligne.