Vacarme 14
hiver 2000

À nos lectrices et lecteurs
Ce numéro, Vacarme 14 (hiver 2000), est désormais archivé et tous ses articles sont accessibles dans leur intégralité. Vacarme aime la gratuité, mais une revue existe grâce à ces abonné·es.
Processus
« Ce poids d’ici-bas »
Entretien avec Claire Denis. Lire →
L’areligion
par Jean-Luc Nancy
Sur « Beau travail », de Claire Denis. Lire →
être ensemble en restant singuliers
Depuis quelques années, Frédéric Fisbach s’est imposé comme l’un des metteurs en scène les plus intéressants du théâtre français ; la saison dernière a particulièrement été marquée par ses deux derniers spectacles, Tokyo notes, d’Horiza Hirata, et Forever Valley, « opéra de chambre » de Gérard Pesson et Marie Redonnet. Il montera ce printemps Bérénice, en collaboration avec le chorégraphe Bernardo Montet.
Au-delà de la simple valeur de ses mises en scène, c’est toute une démarche de pensée (…)
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Dans l’image
par Philippe Mangeot
« Ceci est une pipe », de Pierre Trividic et Patrick Mario Bernard. Lire →
Les morts-vivants
par Mohamed Rouabhi
À quelques exceptions près, Mohamed Rouabhi a écrit dans Vacarme des textes sur les séjours qu’il a passés en Palestine, sur les ateliers d’écriture qu’il a animés à Ramallah, Bethléem, Jérusalem. Sa pièce El menfi (L’exilé) a été créée en juillet 2000 à Ramallah dans la mise en scène de Nadine Varoutsikos ; elle sera reprise en janvier 2001 à Épinay-sur-Seine. Cette fois-ci, il a préféré écrire sur les morts-vivants.
Qui sont ces morts qui reviennent pour nous épouvanter ? Ils nous (…)
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« nitrate won’t wait »
par Jean-Philippe Renouard
rencontre avec Renée Lichtig, une mémoire de la Cinémathèque Lire →
la Cinémathèque dans la tourmente
par Irène Bonnaud
En 1993, Dominique Païni, alors directeur de la Cinémathèque française, provoque la mise en retraite un peu abrupte de Renée Lichtig, il est vrai déjà âgée de soixante-douze ans. Si son départ a été douloureux, non seulement pour elle, mais pour la politique de restauration de la Cinémathèque, c’est qu’il marquait sans doute la fin d’une époque. Renée Lichtig, par ses origines romanesques, ses collaborations avec Renoir ou Stroheim et son travail exemplaire à l’ombre d’Henri Langlois, était (…) Lire →