Vacarme 01
hiver 1997

À nos lectrices et lecteurs
Ce numéro, Vacarme 01 (hiver 1997), est désormais archivé et tous ses articles sont accessibles dans leur intégralité. Vacarme aime la gratuité, mais une revue existe grâce à ces abonné·es.
résister, inventer, produire
qu’est-ce qui faire courir les acteurs ?
Table ronde autour du théâtre et du cinéma Lire →
à quoi ça tient : frigo, cuillère
par Mathieu Potte-Bonneville
chronique des arrangements peu glorieux Lire →
désirs de guerre
par Pierre Zaoui
chroniques érotiques Lire →
chronique de la folie ordinaire
par François Mortier
chroniques érotiques Lire →
le matin
par François Rosset
chroniques érotiques Lire →
un menu pour séduire
par Michel Celse
chroniques érotiques Lire →
l’école, comme si on y était
Cinq jeunes profs dans une chambre, cinq profs du public et de la banlieue parisienne, Aubervilliers, Pantin, Les Mureaux , de lycée et de collège, qui se réunissent autour de la question : « Mais qu’est-ce qu’on a fait pour mériter ça ? »
Evidemment ça fait d’abord peur, et ça s’annonce accablant d’avance. Râler, encore se plaindre, encore pleurer, encore parler, encore râler... ou alors l’étendard républicain et tous ces mensonges sur l’égalité des chances et l’évangélisation des banlieues. Misère. Mais (...)
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toutauto dans le métro
par Stéphane Fernandez
On ne vous l’a peut-être pas dit à la télé. Mais si vous êtes un fervent voyageur des rames de la RATP, vous devez sûrement être au courant.
Des jingles, la RATP a l’habitude d’en diffuser : « N’achetez pas votre ticket à un revendeur à la sauvette... », « Faites attention à votre sac... », « Si vous voyez un colis suspect, prévenez les agents de la sécurité... », etc. Mais celui qui m’a définitivement réveillé, une bonne heure après mon radio réveil, celui-là je ne l’avais jamais entendu.
« Le mondial de (...)
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devenirs massacrés
par Frédéric Barriéra
Des hommes, des femmes, plus ou moins jeunes,des enfants aussi. Des gens. Que le destin, ou plus humblement le hasard, fit sortir du chemin dont ilsavaient peut-être rêvé, auquel peut-être aussi ils n’avaient pas même songé. Chaque fois pourtant le cri silencieux d’un arrachement. Pour que ce cri ne s’abîme complètement dans l’oubli, nous nous proposons ici d’honorer leur mémoire. Avec la retenue de celui qui ne sait qu’en dire. Avec la conviction cependant de celui qui demeure stupéfait.
A tous ceux-là (...)
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