Vacarme 80
été 2017
À nos lectrices et lecteurs
Ce numéro, Vacarme 80 (été 2017), est désormais archivé et tous ses articles sont accessibles dans leur intégralité. Vacarme aime la gratuité, mais une revue existe grâce à ces abonné·es.
Chantier
Commencer
trois éclats de trompette ou le son d’un vacarme
par Floriane Laurichesse & Sophie Rabau
Avant-propos Lire →
le premier visage
par Suzanne Doppelt
L’ombre d’une forme Lire →
commencer, histoire de révolution
par Sophie Wahnich
Une convergence heureuse Lire →
dans un pays absent
par Emmanuelle Gallienne
Joséphine Lire →
« le moment est précieux »
par Déborah Cohen
Se lancer Lire →
point de commencement, une entrée en tatouage
par Adèle Ponticelli
La mue Lire →
appeleurs de mémoire
par Laure Vermeersch
La caméra dans le couloir Lire →
comment c’était, Juliette avant Roméo ?
par Marion Lata
À propos des « prequels » Lire →
commencer à lire
par Floriane Laurichesse
Imaginaire Lire →
les premières phrases ne sont généralement pas au début des romans
par Florian Pennanech & Sophie Rabau
Promesses Lire →
un deux un deux
par Léna Burger
Commencer une radio Lire →
l’homme vert de la page blanche
par Anaïs Vaugelade
Dessiner Lire →
ça a déjà commencé…
par Ariane Chottin-Burger
Débuts d’analyse à plusieurs voix Lire →
tout au contraire d’une effraction
par Sophie Rabau
Sur les commencements musicaux Lire →
comment commencer un cours
par Véronika von Schenck
Heidegger Lire →
dicommencer, par A B C
par Sophie Rabau
Variation Lire →
un commencement n’arrive jamais seul
par Victor Thimonier
Dans le théâtre de Castellucci, ça ne recommence pas mais ça ne cesse de commencer, une manière de maintenir le spectateur en veille et en éveil, de lui proposer un rapport d’attention extrême et de vigileance au réel et à ses potentialités.
Dans le spectacle Go Down Moses de Roméo Castellucci, il y a un grand arbre à moteur derrière un tulle qui fait office de sfumato. Plus il tourne, plus le son écrase les tympans des spectateurs. Plus il tourne, plus l’arbre broie ce qu’on lui donne (…)
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