Tribunes
Toutes les tribunes
Trier par catégorie et thème
- Armée
- Arts plastiques
- Avortement
- Pierre Bourdieu
- Chantier
- Citoyenneté
- Commencer
- Community organizing
- Communs
- Courage
- Critiques
- Démocratie
- Dossiers
- Drogues
- École
- Écologie
- Économie
- Écritures
- Éditorial
- Éducation
- Égypte
- Élections
- Europe
- Europe Ecologie Les Verts
- Fascisme
- Féminisme
- Alain Finkielkraut
- Rémi Fraisse
- Fronts
- Genre et sexualités
- Grèce
- Handicap
- Victor Hugo
- Impuissance politique
- Interruption volontaire de grossesse (IVG)
- Irak
- Israël
- La droite
- La gauche
- Laïcité
- lecture (apprentissage de la)
- Légalisation
- Localisme
- Mariage homosexuel
- Odile Maurin
- Méthode syllabique
- Migrations
- Mouvement des Gilets jaunes
- Mouvements
- Nuit debout
- Ouverture
- Palestine
- Maurice Papon
- Police
- Politique de la joie
- Politique non gouvernementale
- Politiques européennes
- Politiques internationales
- Race
- Racisme
- Recherche
- Répression
- Réseau des villes en transition
- Révolutions arabes
- Roms
- Sécurité
- Solidarité
- Syrie
- Techniques de lutte
- Traité Constitutionnel Européen
- Traités européens
- Ukraine
- Union européenne
- Violence
- Gerrard Winstanley
« La race n’existe pas, mais elle tue »
par Valentin Chémery, Carine Fouteau, Paul Guillibert, Thibault Henneton, Fabien Jobard & Sophie Wahnich
Le chemin vers la non-racialisation passe peut-être par la race, mais il ne s’y arrête pas. Nous voudrions pouvoir résoudre la situation raciale à la manière du nœud gordien, car c’en est un. Le brutaliser. Sortir par le haut de l’histoire et des plis de son discours.
la mort de Rémi Fraisse nous fait violence
par Sophie Wahnich
« Nous », ce sont tous ceux qui ont travaillé à inventer un espace délibératif conflictuel comme première retenue de la violence, ceux qui par fausse naïveté butée veulent ne pas céder sur ce qui fonde une démocratie : la mise en débat de la fabrique de la loi.
Une bonne nouvelle
par L’insensé
Du plus noir de l’été est venue une bonne nouvelle. Même une nouvelle assez extraordinaire qui redonne énergie et confiance en l’avenir, dans les générations qui viennent, même dans le présent. Une sorte d’aller simple vers le bonheur.
Israël : une meurtrière course à l’abime
par la revue Vacarme
Après 2009 et 2012, c’est la troisième fois en cinq ans, et déjà la plus meurtrière, que la (…)
Des Indiens d’Amérique aux Palestiniens de Palestine
par la revue Vacarme
Les opprimés peuvent changer, les oppressions perdurent. De mêmes rapports de domination peuvent (…)
Come ti chiami ?
par Zoé Carle, Vincent Casanova, Laurence Duchêne, Sophie Wahnich & Pierre Zaoui
On en est donc là, les étendards au placard. Quel est le mot, qui aujourd’hui pourrait politiquement nous nommer ? D’être passés entre toutes les mains, les mots ont été polis jusqu’à glisser entre les doigts de qui voudrait les saisir. Les paroles fondent, soit parce qu’elles ont été trahies par l’histoire, soit parce qu’elles sont devenues de grands sacs mous impropres à dire correctement ce que l’on voudrait voir définir.
L’IVG, quarante ans après
par Laurence Duchêne, Marie Fontana, Aude Lalande, Adèle Ponticelli, Anaïs Vaugelade & Lise Wajeman
« Mon corps m’appartient ». Ça veut dire ce n’est pas à toi. Et c’est moi qui décide. Qui rentre, qui sort, qui touche, qui se développe ou pas. Si je veux interrompre une grossesse, mon choix prévaut (le prévôt pas). En France, le slogan était subversif il y a quarante ans. C’était l’individu contre l’autorité. Le père, l’époux, le maire, le juge, le flic, le médecin, le prêtre, le pape… en somme le patriarcat. C’était avant qu’on ait « gagné ».
Honneur aux Verts
par la revue Vacarme
Dans le naufrage politique actuel de la gauche où nul citoyen honnêtement intéressé par l’avenir ne sait plus à quelle branche se raccrocher, entre dégoût stérile et compromission exagérée, il est bon de ne pas rester insensible aux quelques signes encourageants qui parviennent encore à percer. Ces derniers jours, la seule bonne nouvelle vient du parti écologiste. Rendons-lui donc hommage.
Mémento
par Mathieu Potte-Bonneville
Éditorial
Le musée de la droite, une visite guidée
Entretien avec le Conservateur Jean Zy, vous êtes le conservateur du tout nouveau Musée de la (…)
Nou led, nou la
par Mathieu Potte-Bonneville
Éditorial
Cut Up
En bref
Carte électorale
par la revue Vacarme
Éditorial
Cut up
En bref
Dire oui
par Stany Grelet, Philippe Mangeot & Mathieu Potte-Bonneville
Du PaCS au mariage homosexuel, la lutte a changé d’allure. Le mouvement qui a porté le PaCS (…)
Cut up
En bref
Il faut défendre la société
par la revue Vacarme
Éditorial
Politiser les politiques européennes
par Vincent Casanova, Laurence Duchêne, Carine Fouteau, Marion Glatron, Stany Grelet, Gaëlle Krikorian, Aude Lalande, Carole Peclers, Adèle Ponticelli & Pierre Zaoui
Seule position conséquente : traiter l’Union européenne comme un des plans de l’action et du jugement politiques, ni plus, ni moins ; y repérer des clivages, s’y situer, en produire ; identifier des possibles et des obstacles ; des alliés et des ennemis ; y faire en somme, ici aussi, pas forcément plus mais pas moins qu’ailleurs, de la politique, tout simplement.
Une vie non fasciste
par Vincent Casanova, Joseph Confavreux, Laurence Duchêne, Dominique Dupart, Carine Fouteau, Stany Grelet, Paul Guillibert, Thibault Henneton, Xavier de La Porte, Aude Lalande, Philippe Mangeot, Petra Neuenhaus, Carole Peclers, Lise Wajeman & Pierre Zaoui
Nous tenons encore à employer le mot « fasciste ». On ne peut pas renoncer à employer un tel terme au nom de sa confusion avec d’autres formes peu sympathiques de politique, puisque le propre du fascisme est justement de tout confondre, de tout mélanger, de tout ensorceler.
Yes, we can’t
par Laurence Duchêne, Dominique Dupart, Carine Fouteau, Paul Guillibert, Thibault Henneton, Xavier de La Porte, Carole Peclers, Adèle Ponticelli, Laure Vermeersch & Pierre Zaoui
La droite c’est l’impuissance imposée dans nos crânes à coup de gourdin, la gauche c’est l’impuissance intériorisée dans nos âmes à coups de renoncements. [...] Mais bernique, ça suffit, cette fois plus question de chanter que notre seul horizon d’impuissance serait celui de la puissance retrouvée. Il faut nommer ce sentiment d’impuissance parce que c’est un moyen de partager.